Une étude globale du cante jerezano risquant de dépasser largement les dimensions décentes d’un article, nous nous limiterons aux cantaoras — et encore, à quelques une des plus notables... >suite
Rocío Márquez : "Himno vertical" — un CD Delirioyromero Producciones / Viavox Production, 2025. Livret avec tous les textes et un prologue de Rocío Marquez (traduction du prologue pour l’édition distribuée en France). >suite
Un festival centré sur la musique baroque... rien à voir avec le flamenco ? À voir justement. Nous avons eu maintes fois l’occasion de souligner les similitudes, au moins esthétiques, entre les deux répertoires, qui n’ont pas échappé à Fahmi Alqhai, Árcangel, Rocío Márquez, Tomás de Perrate, etc. >suite
David Carpio : "Jerez : maneras de sentir" / Mari Peña & Antonio Moya : "Utrera en familia" / Luisa Palicio : "De Málaga a Sevilla" / Jesús Méndez : "Quiero cantArte" / José Valencia : "Estudio sobre los cantes de Lebrija" / Marina Heredia : "En concierto" / Israel Fernández : "Por amor al cante" / Manuela Carrasco : "Siempre Manuela" / Estévez & Paños y Compañía : "La confluencia" / Jesús Carmona : "Baile de bestias" >suite
Dans son ouvrage généraliste El cante flamenco (Madrid, Alianza Editorial, 2004), Ángel Álvarez Caballero ne consacre que treize pages à Grenade, sur un total de quatre cent trente-huit : dix pages sur le Concurso de Cante Jondo de 1922 (pages 211 à 220, mais très peu d’informations sur les cantaores locaux, à l’exception de deux pages sur Frasquito Yerbabuena), et trois pages sur Enrique Morente (pages 370 à 372). Pour être équitable, ajoutons trois mots sur le fandango de La Peza (page 78 — en fait une citation d’Arcadio Larrea) et un paragraphe (neuf lignes) mentionnant Estrella Morente, Marina Heredia et, comme par inadvertance, son père Jaime "El Parrón" (page 376)... >suite
"[...] On ne peut ignorer que l’objet de cette étude est précisément l’étroite coexistence contrainte, souvent dans des conditions de vie infrahumaines, des personnes qui ont conservé le plus fidèlement la mémoire collective d’une tradition musicale. Les interviewés racontent des histoires bouleversantes d’un esprit communautaire peu habituel dans la vie urbaine normale, même si l’on tient compte de la solidarité qui existait déjà depuis des décennies dans les quartiers de Jerez en particulier." (Estela Zatania — traduction de l’auteur de cet article) >suite
En 1861, soit vingt ans avant l’ouverture du Café de Silverio à Séville, la Guía del viajero en Málaga de Benito Vila recommande le Café del Sevillano, situé en plein centre de la ville rue des Siete Revueltas. Il figure dans les éditions postérieures jusqu’en 1882. Comme la plupart des Cafés cantantes de l’époque, il ne programme pas exclusivement des spectacles de flamenco, mais Juan Breva y fait ses débuts en 1865. Suivront Antonio Chacón, El Maestro Ojana, El Canario, La Macarrona, El Raspao, etc... >suite
"En vano es que de las dos Indias lleguen a Cádiz nuevos cantares y bailes de distinta aunque siempre de sabrosa y lasciva prosapia ; jamás se aclimatarán, si antes, pasando por Sevilla, no déjà en vil sedimento lo demasiado torpe y lo muy fastidioso y monótono a fuerza de ser exagerado". (Serafín Estébanez Calderón "El Solitario" — Un baile en Triana) >suite
Vous pouvez participer à la vie de ce site et proposer vos propres articles en vous inscrivant ci-dessous. Vous recevrez immédiatement un email vous indiquant vos codes d’accès à l’espace privé du site.