Oasis, oasis
A la fin de sa performance, la plus grande chanteuse de flamenco de sa génération est simplement venue remercier le public, les techniciens de la Cité de la Musique et ceux qui ont eu l’ idée de la programmer dans cette magnifique salle de concerts en forme de cube, à l’ acoustique idéale.
Nous avions déjà eu le plaisir d’ admirer la cantaora au Châtelet, à la fin du siècle dernier, du temps où ce théâtre ne se contentait pas d’ aligner au kilomètre les musicals de Broadway – nous nous souvenons que nous avions été placés à quelques fauteuils de Martine Aubry, qui doit probablement être une vraie aficionada. Carmen Linares avait, en quelques mesures, effacé la prestation du bailaor avec lequel elle partageait la tête d’ affiche.
« Oasis abierto », spectacle chantant la poésie de Miguel Hernández – laquelle est aussi musique –, étrenné en janvier dernier à (…) >suite
José Cala Repeto, José Cala "El Poeta", né à Jerez en 1927, fut l’ un des guitaristes majeurs de l’ âge d’ or des festivals andalous (années 1970).
Si son enregistrements le plus connu reste la fameuse "Misa flamenca ... en Sevilla" (en compagnie d’ Antonio Mairena, Naranjito de Triana et Luis Caballero - LP RCA 740.585, 1969 pour l’ édition française / 1968 pour l’ édition espagnole), il a accompagné sur scène et en studio la fine fleur des cantaores "classiques" en activité à l’ époque : outre les trois susnommés, La Paquera de Jerez, La Sallago, Rosario López, Fernanda de Utrera, Manolo Mairena, Romerito de Jerez, Jesús Heredia..., en particulier pour les labels Belter et Zafiro. Nous vous proposerons d’ ailleurs en novembre, dans cette même rubrique, le premier LP de Rosario López, en compagnie d’ El Poeta (toujours pas réédité en CD. Scandaleux !)
Atteint d’ une grave (…) >suite
5 juillet : Luis El Zambo
5 juillet : Antonio Rey
6 juillet : Israel Galván
7 juillet : José Valencia
7 juillet : Farruco
8 juillet : Esperanza Fernández
8 juillet : Dorantes
Logo : Fernando Moreno
Photos : Muriel Mairet >suite
"Toco la guitarra porque es la manera de cantar que tengo" (propos rapportés par Ángel Álvarez Caballero - "El toque flamenco", Alianza Editorial, 2003) >suite
N’ écoutant que notre courage, nous nous hasardons à défier la colère d’ "Undebel del cielo" en inscrivant la Petenera au sommaire de notre rubrique "initiation". Nous tenons cependant à informer nos lecteurs que la rédaction de Flamencoweb décline toute responsabilité quant aux calamités qui pourraient s’ abattre sur les téméraires qui liraient cet article. La Petenera a en effet mauvaise réputation, et porte malheur. C’ est qu’ une légende tenace attribue la création de ce cante à une certaine Dolores "La Paternera", ou "La Petenera" (de Paterna de la Rivera - Cádiz), dont les amants seraient morts tragiquement (le mythe de Carmen a encore frappé...). Qui plus est, la danseuse Mari Paz mourut en 1946 après une représentation de "Gloria a la Petenera" (Quintero, Quiroga et León), dans laquelle elle incarnait le fatal personnage. Depuis, nombre d’ artistes refusent d’ interpréter la (…) >suite
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