Articles les plus récents

Entretien avec Luisa Palicio, Jesús Corbacho et Pedro Sánchez

lundi 20 décembre 2010 par Maguy Naïmi
Interview de Luisa Palicio (danseuse), Jesús Corbacho (chanteur) et Pedro Sánchez (guitariste), réalisée par l’ équipe de flamencoweb.fr, après leur concert du dimanche 21 novembre 2010, dans le cadre du festival Larachí Flamenca ( du 19 au 21 novembre, à la Maison des Cultures du Monde). > suite

Hommage à Tío Gregorio El Borrico

lundi 13 décembre 2010 par Claude Worms
Un dernier centenaire pour clôturer cette année 2010 fertile en commémorations… Confessons, à notre grande honte, que nous l’ aurions oublié sans le très opportun ouvrage dr José María Castaño, Alfredo Benítez et Gonzalo López (cf, ci-dessous : bibliographie). Gregorio Manuel Fernández Vargas « Tío Gregorio El Borrico » est né le 3 avril 1910 à Jerez (Calle Nueva, au cœur du quartier de Santiago), et mort en cette même ville le 12 décembre 1983. Ses deux patronymes suffisent à résumer une généalogie qui le place au cœur de la transmission orale du patrimoine flamenco gitan de Jerez. Fernández par son père, « Tío Tati », il est le neveu de Juanichi « El Manijero » et de Parrilla el Viejo, et donc cousin de Fernando Terremoto, El Sernita, et Parrilla de Jerez. Vargas par sa mère, il prend place dans une lignée qui, sur quatre générations, compte des artistes majeurs de l’ histoire du (…) > suite

Crime et nuit flamenca : les répercussions du meurtre du cantaor El Canario (1885)

vendredi 3 décembre 2010 par Vinciane Garmy
Cet article sera prochainement publié par le CREC (Centre de Recherche sur l’ Espagne Contemporaine), propriétaire de la publication principale. Nous remercions Madame Franco d’ avoir eu la courtoisie de nous en autoriser la reproduction. CREC > suite

Andrés Peña

Production : Salle Ravel (Levallois) / Flamenco en France
mercredi 24 novembre 2010 par Manuela Papino
Un format qui s’ annonçait parfait. > suite

La Malagueña (2ème partie)

lundi 22 novembre 2010 par Claude Worms
4) Quatre maîtres de la Malagueña moderne : La Trini, Enrique el Mellizo, Fosforito, Antonio Chacón Nous nommerons Malagueñas "modernes" des compositions dont l’ amplitude des périodes mélodiques, et la complexité ornementale, supposent une interprétation en récitatif, ou, à tout le moins, un rubato très marqué. Il est intéressant de noter que la plupart des créateurs de ces nouveaux modèles, plus distanciés du rythme "abandolao" que les précédents, ne sont pas originaires de Málaga (à l’ exception de La Trini - mais son style apparaît nettement influencé par les Cantes de Levante, Taranta, Cartagenera... De même, La Peñaranda nous a légué un cante "por Malagueña", mais elle était native de La Unión, ou peut-ête de Cartagena. Inversement, El Cojo de Málaga sera un spécialiste incontesté, non de la Malagueña, mais des Cantes de Levante...). C’ est que l’ axe côtier, d’ Almería à (…) > suite

5ème Festival Larachí Flamenca

Maison des Cultures du Monde, Paris / du 19 au 21 novembre 2010
samedi 20 novembre 2010 par Claude Worms
C’ est désormais une tradition bien établie : chaque automne nous ramène, à la Maison des Cultures du Monde et en provenance de Séville (avec, pour la première fois à l’ occasion de cette dernière édition, un détour par Málaga), le Festival Larachí Flamenca, consacré à la promotion de jeunes artistes. Si l’ on en juge par le premier spectacle (vendredi 19 novembre), cette cuvée devrait être excellente Vendredi 19 novembre / 20h30 Danse : "La Chica Chant : Inma "La Carbonera" "El Tremendo" Guitare : Eduardo Trassierra Percussions : Andrej Vujicic Programme : Guajira et Colombiana (baile) Bulerías (guitare solo) Soleares por Bulería (baile) Tientos et Tangos (cante) Martinete, Debla et Siguiriyas (baile Le festival reste fidèle à la formation en cuadro traditionnel à laquelle il nous a habitué, chaque protagoniste ayant cependant l’ occasion d’ être mis en (…) > suite

La Malagueña (1ère partie)

jeudi 18 novembre 2010 par Claude Worms
Avec une quarantaine de modèles mélodiques distincts, la forme Malagueña est l’ une des plus riche du répertoire flamenco, à l’ égal de la Soleá ou de la Siguiriya. Il faut sans doute attribuer à l’ obsession du compás (qui d’ ailleurs est trop souvent confondu avec la rigidité de la pulsation, encore aggravée actuellement par l’ accélération du tempo. Le risque est évidemment une uniformisation rythmique des palos - Soleá, Siguiriya, Bulería et Alegría tendent ainsi à se confondre) la relative négligence dans laquelle la tiennent les spécialistes ès flamenco : les cantes por Malagueña sont "libres" (l’ adjectif ne vaut que pour le rythme), c’ est à dire récitatifs, non soumis à un compás, un rythme, ou même une pulsation régulière. Pourtant, la Malagueña est l’ une des formes les plus anciennes du répertoire actuel, bien antérieure à la Soleá ou à la Siguiriya, et contemporaine du (…) > suite

José Manuel Gamboa : "Rafael Romero... ¡Cantes de época ! Antológica y alfabéticamente"

"... y el nacimiento del microsurco flamenco en España"
mardi 16 novembre 2010 par Claude Worms
Un livre : 255 pages (texte espagnol) Quatre CDs (87 cantes) Une production El Flamenco Vive (2010) > suite

Trois disques témoignages

lundi 15 novembre 2010 par Claude Worms
"Flamenco. L’ âme andalouse" : INA, collection "Mémoire vive" (2010) "Curso 2009 / 2010" : Fundación Cristina Heeren de Arte Flamenco (2010) "Aurelio Sellé. Un Catedrático del Cante Grande" : Bujío BJPS 163 (2007) > suite

XVI Biennale de Séville (2010) : reportage photographique

jeudi 11 novembre 2010 par Muriel Mairet
Arcángel et José Antonio Rodríguez Pastora Galván Fernando Romero et José Antonio ("Paseo por el amor y la muerte") > suite

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Dessins, peintures et sculptures de Miguel Alcala



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