Articles les plus récents

La Bulería (1ère partie)

Modes et tonalités / Compás
mercredi 12 mars 2008 par Louis-Julien Nicolaou
Comme l’ Alegría, la Bulería appartient au registre festif du flamenco. Elle est d’ailleurs vraisemblablement issue des finals por Soleá ou por Alegría. C’est le palo le plus rapide et l’un des plus enjoués du flamenco. La virtuosité qu’il requiert tant de la part des danseurs que de celle des guitaristes, des palmeros et des chanteurs, lui a en outre assuré une popularité telle qu’il est bien rare aujourd’hui d’entendre un récital ou de trouver un disque qui l’omettrait. Ce qui distingue encore ce palo est sa complexité rythmique. Bien que sa métrique diffère peu de celle des autres formes en douze temps, elle semble s’offrir plus volontiers à toutes les inventions, à tous les jeux que le rythme peut engendrer. Réduite à une simple suite de temps forts ou entremêlant les polyrythmies de la guitare et de la danse, la Bulería reste en tout cas l’un des moments les plus excitants de (…) > suite

Hommage à Gaspar de utrera

jeudi 6 mars 2008 par Nadia Messaoudi
Gaspar de Utrera nous a quittés > suite

XIIème Festival de Jerez : 21 février / 8 mars 2008

mercredi 5 mars 2008 par Nadia Messaoudi
Un festival, des lieux. Le festival de flamenco de Jerez de la Frontera, qui se déroule cette année du 22 février au 8 mars, est le rendez-vous des aficionados du flamenco. Dans ce temple du flamenco que représente Jerez, se succèdent les grandes étoiles du flamenco au côté de jeunes révélations. Entièrement dédié à la danse flamenca, le festival de Jerez propose tous les soirs au Théâtre Municipal de Villamarta un échantillon de l’actualité « du baile » flamenco. Pour ouvrir le bal, le spectacle « Viva Jerez » a réuni sur scène les danseuses María del Mar Moreno, Mercedes Ruiz et le chanteur Fernando Terremoto. Un plateau cent pour cent « jerezano ». En dehors du théâtre, le flamenco à Jerez se respire à chaque coin de rue. Il n’est pas rare d’entendre les « jerezanos » pousser la chansonnette au coin d’un comptoir de bar ou même au marché de poissons, provisoirement (…) > suite

Pedro et le flamenco

vendredi 29 février 2008 par Luis López Ruiz
Les plus spontanés d’entre vous vont dire aussitôt : “ Pedro comment ? Mais de quel Pedro parle-t-il ? ” Eh bien, je voudrais vous parler de tous les artistes flamencos qui portent, ou ont porté, ce prénom ! Après avoir en effet recensé pas moins de 800 artistes plus ou moins reconnus dans le monde du flamenco, j’ai découvert qu’il y en avait très peu qui s’appelaient... Pedro... A peine 2 % ! Les prénoms les plus courants sont : Manuel (10%), José (9 %), Antonio (7%), Juan et Francisco (6,5%), à égalité.Ces pourcentages tiennent compte autant des noms fémimins que masculins, tout comme leurs hypocoristiques correspondants comme : Manolo, Curro, Frasquito, Pepe, Toni, Perico ( s’il en est un, de Pedro.) > suite

Hommage à Diego del Gastor (1908 / 1973)

Le fondateur de l’ "école de Morón"
dimanche 24 février 2008 par Claude Worms
Les aficionados commémoreront cette année le centenaire de la naissance de Diego del Gastor, figure mythique s’ il en est d’ une histoire de la guitare flamenca qui n’ en manque pourtant pas. Guitariste "corto", tant pour la technique que pour le répertoire, Diego del Gastor n’ en a pas moins créé un style qui compte encore aujourd’ hui des milliers d’ adeptes dans le monde entier. > suite

Hommage à Melchor de Marchena (1907 / 1980)

La voix singulière d’ un rénovateur de l’ accompagnement du cante.
vendredi 22 février 2008 par Claude Worms
Le centenaire de la naissance de Melchor de Marchena est passé à peu près inaperçu. Seuls l’ hommage de sa ville natale, et une conférence de Norberto Torres au récent festival de Nîmes, nous ont rappelé la dette immense du cante et du toque vis à vis de l’ un des plus grands accompagnateurs de l’ histoire du flamenco. > suite

Alain Faucher : "Danzas arabes"

Editions Affédis
mardi 19 février 2008 par Claude Worms
Le terme générique "Zambras" désigne les groupes de chants, danses, et guitares des gitans du Sacromonte, à Grenade. Leur répertoire comprenait entre autres des danses attachées aux traditions des noces gitanes, parmi lesquelles l’ Alboreá, répandue dans toute l’ Andalousie, et d’autres plus autochtones : la Cachucha (ou "El perdón de la novia"), la Mosca, "La chinita y el petaco", et la Danza (ou Zambra) Árabe, étroitement apparentée aux Tangos del Sacromonte. Si la Danza Árabe n’ a pas donné naissance à un cante bien défini (quelques créations célèbres, de Juan Varea, Rafael Farina..., et surtout Manolo Caracol, sont plutôt des "coplas andaluzas" à compás de Tientos, ou de Tangos lents), elle est par contre devenue dans le deuxième tiers du XXème siècle l’ un des piliers du répertoire de la guitare flamenca de concert, avec de multiples compositions de Niño Ricardo, Luis (…) > suite

Antonio Rey : "A través de tí"

Karonte KAR 7720
mardi 19 février 2008 par Claude Worms
Jeune guitariste né en 1981, Antonio Rey, comme beaucoup des artistes de sa génération, a déjà à son actif une brillante carrière. Formé par son père Toni Rey (guitariste et cantaor), il travaille dès l’ âge de 10 ans avec lui dans des tablaos et des théâtres mexicains. De retour en Espagne, il est engagé dans diverses compagnies de danse, dont celles de Manuela Carrasco, Antonio Canales, et Farruquito. Il obtient le premier prix du concours de La Unión en 2001, puis celui du concours de Jerez en 2004, et enchaîne depuis les tournées avec sa propre formation. Le style d’ Antonio Rey est clairement marqué par l’ influence de Gerardo Nuñez (sensible dès le premier titre, la Rumba "A través de tí"), qui produit d’ ailleurs ce premier disque, enregistré dans son studio. Saluons au passage le généreux soutien apporté par Gerardo Nuñez à de jeunes guitaristes (Ramón Jímenez, Jesús de (…) > suite

Entretien avec Juan Carmona

La tradition éclairée du flamenco
mercredi 13 février 2008
Juan Carmona fait partie des guitaristes virtuoses qui ont confirmé leur place dans le monde du flamenco, en alternant la précision dans la tradition et des aventures audacieuses dans l’ouverture musicale. Son parcours est jalonné de récompenses qui sont autant de témoignages de son immense talent – diplômé des mains de Manolo Sanlúcar de la "Fondation Flamenca de Jerez", premier prix du concours Paco de Lucía de Madrid – et sa carrière s’appuie sur une discographie riche de 12 albums qui l’ont vu côtoyer les plus grandes figures du flamenco – Agujetas, Duquende, Moraíto Chico – et expérimenter des rencontres avec d’autres styles, comme la musique marocaine ("Orillas") et plus récemment la musique classique ("Sinfonía flamenca"). La renommée de ce Gitan français – Juan Carmona est né à Lyon en 1963 – s’étend un peu partout dans le monde : nominé en 2003 au "Latin Grammy Award" pour (…) > suite

Manolo Sanlúcar : "Mundo y formas de la guitarra flamenca"

Claude Worms : "Harmonie de la guitare flamenca"
mardi 12 février 2008 par Louis-Julien Nicolaou
Quatre livres (CD inclus) aux éditions Acordes Concert Distribution pour la France : éditions Combre > suite

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Dessins, peintures et sculptures de Miguel Alcala



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