Dans son ouvrage généraliste El cante flamenco (Madrid, Alianza Editorial, 2004), Ángel Álvarez Caballero ne consacre que treize pages à Grenade, sur un total de quatre cent trente-huit : dix pages sur le Concurso de Cante Jondo de 1922 (pages 211 à 220, mais très peu d’informations sur les cantaores locaux, à l’exception de deux pages sur Frasquito Yerbabuena), et trois pages sur Enrique Morente (pages 370 à 372). Pour être équitable, ajoutons trois mots sur le fandango de La Peza (page 78 — en fait une citation d’Arcadio Larrea) et un paragraphe (neuf lignes) mentionnant Estrella Morente, Marina Heredia et, comme par inadvertance, son père Jaime "El Parrón" (page 376)... >suite
"[...] On ne peut ignorer que l’objet de cette étude est précisément l’étroite coexistence contrainte, souvent dans des conditions de vie infrahumaines, des personnes qui ont conservé le plus fidèlement la mémoire collective d’une tradition musicale. Les interviewés racontent des histoires bouleversantes d’un esprit communautaire peu habituel dans la vie urbaine normale, même si l’on tient compte de la solidarité qui existait déjà depuis des décennies dans les quartiers de Jerez en particulier." (Estela Zatania — traduction de l’auteur de cet article) >suite
En 1861, soit vingt ans avant l’ouverture du Café de Silverio à Séville, la Guía del viajero en Málaga de Benito Vila recommande le Café del Sevillano, situé en plein centre de la ville rue des Siete Revueltas. Il figure dans les éditions postérieures jusqu’en 1882. Comme la plupart des Cafés cantantes de l’époque, il ne programme pas exclusivement des spectacles de flamenco, mais Juan Breva y fait ses débuts en 1865. Suivront Antonio Chacón, El Maestro Ojana, El Canario, La Macarrona, El Raspao, etc... >suite
"En vano es que de las dos Indias lleguen a Cádiz nuevos cantares y bailes de distinta aunque siempre de sabrosa y lasciva prosapia ; jamás se aclimatarán, si antes, pasando por Sevilla, no déjà en vil sedimento lo demasiado torpe y lo muy fastidioso y monótono a fuerza de ser exagerado". (Serafín Estébanez Calderón "El Solitario" — Un baile en Triana) >suite
À José Luis Rodríguez García de la Torre "José Luis de la Paz" (Chaouen, Maroc, 27 février 1967 - Miami, USA, 15 janvier 2025).
"[...] Nuestro trabajo de artistas tiene una función importantísima, que es conectar al ser humano consigo mismo, con la tierra y con el universo. Esto es una responsabilidad que debemos llevar con generosidad y amor. Hay artistas que lo llevan consigo sin saberlo, y otros toman conciencia de ello. Cada vez que tocamos la guitarra, en nuestro caso, nos ’afinamos’ para abrir esta puerta. Sin embargo, esta responsabilidad no debe ser una carga, sino que debe integrarse en nuestra vida. Esto, para mi, es importante, y también lo es el relacionarnos bien con el instrumento." — José Luis de la Paz, entretien avec Marco Marco Rodríguez pour cienxcienflamenco.com, publié le 10 février 2019. >suite
Luisa Palicio & Compañía : "El penúltimo cuplé" / Eduardo Guerrero : "El manto y su ojo" / José Mijita : "Al sur de la libertad" / Manuel Liñán & Compañía : "Muerta de amor" / Jesús Méndez : "Quiero cantArte" / María José Franco & Compañía : "Tararamía" >suite
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