Articles les plus récents

José Manuel Gamboa : "Rafael Romero... ¡Cantes de época ! Antológica y alfabéticamente"

"... y el nacimiento del microsurco flamenco en España"
mardi 16 novembre 2010 par Claude Worms
Un livre : 255 pages (texte espagnol) Quatre CDs (87 cantes) Une production El Flamenco Vive (2010) > suite

Trois disques témoignages

lundi 15 novembre 2010 par Claude Worms
"Flamenco. L’ âme andalouse" : INA, collection "Mémoire vive" (2010) "Curso 2009 / 2010" : Fundación Cristina Heeren de Arte Flamenco (2010) "Aurelio Sellé. Un Catedrático del Cante Grande" : Bujío BJPS 163 (2007) > suite

XVI Biennale de Séville (2010) : reportage photographique

jeudi 11 novembre 2010 par Muriel Mairet
Arcángel et José Antonio Rodríguez Pastora Galván Fernando Romero et José Antonio ("Paseo por el amor y la muerte") > suite

"Carrete. Al compás de la vida"

"Aventuras y desventuras de un bailaor diferente" / De Francis Mármol et Paco Roji Doña
dimanche 31 octobre 2010 par Maguy Naïmi
Livre publié à compte d’auteur que l’ on peut se procurer à « El flamenco vive » ( Madrid ) ou bien en contactant Paco Roji , à sa boutique FlamenKa ( Málaga ) Málaga, 2010 / 95 pages / texte en espagnol > suite

Séville : XVI Biennale de Flamenco

Troisième époque : du 3 au 9 octobre
mercredi 6 octobre 2010 par Manuela Papino
"Concierto de clausura" 9 octobre / 20h 30 / Théâtre de la Maestranza Guitare : Paco de Lucía Chant : David Maldonado, Duquende Basse : Alain Pérez Percussions : Piraña Deuxième guitare : : Antonio Sánchez Harmonica : Antonio Serrano Danse : Farruco Paco est Paco La clôture de la Biennale, qui reposait sur les épaules de Paco de Lucía, représentait un évènement qui finit par dépasser Séville et la Biennale. Les rumeurs disent que les places se revendaient à plus de 500 euros. Ce qui est sûr, c’ est que le théâtre Maestranza était plus que complet. Paco est Paco. Rien que d’ y penser, l’ excitation et l’ émotion montaient en chacun de nous. Lorsqu’ il entra en scène, un peu nerveux manifestement de se retrouver face au public sévillan, ce fut une véritable ovation générale. Les “Dios te bendiga Paco” (Que Dieu te bénisse Paco), “ Te queremos maestro” (...) > suite

Séville : XVI Biennale de Flamenco

Deuxième époque : les 1 et 2 octobre
mardi 5 octobre 2010 par Claude Worms
Depuis deux semaines, la Biennale de Séville enchaîne les spectacles à un rythme effréné, et avec une qualité croissante, si nous en croyons la rumeur et la presse locale. Curieusement, personne ne semble s’ être avisé de notre absence, et aucun artiste ne nous a attendu. Nous avons donc manqué, entre autres, Rocío Molina, David Lagos, Andrés Marín, Paco Escobar, Farruquito, Rocío Segura, Dorantes, Antonio Campos, David Palomar, Raimundo Amador, Tomatito, Argentina, Estrella Morente, Pastora Galván, Santiago Lara, Arcángel, José Antonio Rodríguez Pansequito… Par contre, nous sommes arrivés juste à temps pour assister à l’ un des meilleurs concerts de guitare flamenca que j’ aie entendu depuis des lustres (précisément depuis un mémorable programme Manuel Cano / Serranito / Paco de Lucía au début des années 1970 – les trois en solo : à l ‘ époque, ça allait de soi). Passons donc (...) > suite

Dunas : María Pagés, Sidi Larbi Cherkaoui

Biennale de Flamenco de Séville 2010
lundi 4 octobre 2010 par Manuela Papino
Dunas était un spectacle extrêmement attendu dans cette Biennale de Flamenco de Séville. Co-production du Dans festival esplanade- théâtre on the bay (Singapour), INTEREG festival de Temporada Alta (Girona), Festival Les Estivales Perpignan, Les nuits de Fourvière de Lyon (France), Sadler’s Wells de Londres, Festival de Otoño Madrid, Festival Mawazine rythmes du monde (Maroc), et du Teatre Auditori de Sant Cuga, autant de lieux garants a priori de sa qualité, il représentait cependant dans ce contexte particulier un réel défi face à un public sévillan revendiquant encore majoritairement « un flamenco puro » acceptant peu les « excentricités » ... jusqu’à cette année semble t-il, car Dunas à fait l’unanimité. > suite

Séville : XVI Biennale de Flamenco

Du 15 septembre au 9 octobre 2010
mardi 21 septembre 2010 par Claude Worms
Première époque : les 17 et 18 septembre > suite

Hommage à Manuel Vallejo (1891 - 1960)

vendredi 3 septembre 2010 par Claude Worms
« Le fait qu’ on lui ait concédé la deuxième « Llave de Oro del Flamenco » - seules trois ont été décernées – nous montre bien clairement l’ état d’ abaissement de notre art dans les années qui suivirent le Concours de Cante Jondo de Grenade ». Ainsi Ángel Álvarez Caballero, que l’ on a connu mieux inspiré, expédie-t’ il le cas de Manuel Vallejo, auquel il consacre un court paragraphe dans son ouvrage « El cante flamenco » (Alianza Editorial – 2004), lui concédant tout de même un certain niveau « d’ excellence dans les genres les plus typiques de l’ époque – Fandangos, Fandanguillos, Media Granaína… », et l’ audace de « se risquer à d’ autres plus graves, bien que sa voix particulièrement aiguë ne fût pas adéquate à leur exécution ». Nous retrouvons ici tous poncifs qui ont longtemps desservi, à partir des années 1960 et de la « réforme mairénienne », les artistes dont la (...) > suite

Hommage à Luis Torres Cádiz "Joselero de Morón" (1910 - 1985)

jeudi 2 septembre 2010 par Claude Worms
Luis Torres Cádiz "Joselero de Morón" est né le 23 janvier 1910 à La Puebla de Cazalla, mais appartient de plein droit au patrimoine flamenco de Morón de la Frontera, où sa famille s’ est installée alors qu’ il était encore enfant. La quarante troizième édition du traditionnel festival ("Gazpacho andaluz") de la ville a donc commémoré le 31 juillet dernier le centenaire de sa naissance. "Joselero" était le surnom de son frère aîné, qui tenta une éphémère carrière de cantaor : plus connu comme "Niño de la Puebla", il partagea quelques affiches avec El Cojo de Málaga, La Niña de los Peines, ou José Cepero. Mais il devint rapidement commerçant, et Luis le seconda comme vendeur ambulant dans les rues de Morón et des bourgades voisines, un métier qu’ il n’ abandonna jamais complètement. Il doit ses premiers "leçons" à son frère aîné et à leur mère, mais c’ est sa rencontre avec Diego (...) > suite

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Dessins, peintures et sculptures de Miguel Alcala



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