Articles les plus récents

Festival flamenco de Nîmes 2009

Du 17 au 24 janvier, une semaine de spectacles.
mardi 3 février 2009 par Maguy Naïmi
Comme nous l’ espérions (voir notre article "Nîmes, avant-première"), cette semaine fut riche en émotions, en découvertes, et en surprises. L’ édition 2010, pour le vingtième anniversaire du Festival, est déjà en préparation, et devrait être grandiose.... > suite

Vertus et limites des transcriptions pour guitare flamenca (2ème partie)

Une analyse des Bulerías "por medio" de Diego del Gastor
lundi 2 février 2009 par Claude Worms
Conférence donnée à Morón de la Frontera, le 12 décembre 2008, dans le cadre du Congrès International "Una época flamenca a través del Centenario de Diego del Gastor" > suite

Vertus et limites des transcriptions pour guitare flamenca (1ère partie)

Une analyse des Bulerías "por medio" de Diego del Gastor
lundi 2 février 2009 par Claude Worms
Conférence donnée à Morón de la Frontera, le 12 décembre 2008, dans le cadre du Congrès International "Una época a través del Centenario de Diego del Gastor" > suite

Cristina Hoyos : "Romancero gitano"

Compagnie Antonio Gadès : "Carmen"
jeudi 29 janvier 2009 par Nicolas Villodre
Cristina Hoyos : "Romancero Gitano" (Folies Bergère) A l’occasion de son come-back à Paris et aussi de ses « adieux au music-hall », pour reprendre l’expression consacrée, nous avons eu le plaisir de rencontrer la grande figure de la danse et du cinéma espagnols qui nous a aimablement accordé un entretien dans le bureau de direction des Folies Bergère. Avec le Ballet Flamenco d’Andalousie qu’elle anime depuis 1994 et qui est composé de vingt-six danseurs, musiciens et cantaores, Cristina Hoyos donnera, fin janvier 2009, aux Folies Bergère, une série de représentations de sa version du "Romancero Gitano" (1928) de Federico García Lorca, un spectacle qui date de 2006. La rencontre avec Antonio Gadès, en 1969, fut le point de départ de sa notoriété internationale. Le film "Bodas de sangre"/ "Noces de sang" (1981), inspiré du drame éponyme du poète andalou dont Gadés (...) > suite

La canne de Juan

samedi 10 janvier 2009 par Luis López Ruiz
C’est à Jerez que j’ai rencontré Juan de la Plata, un jour d’automne il y a de cela pas mal d’années déjà. Nous nous étions donné rendez-vous devant le “Gallo Azul” et je savais que je le reconnaîtrais tout de suite car j’avais souvent vu des photos de lui dans de nombreuses publications. Ma surprise fut donc d’autant plus grande lorsque j’ai découvert qu’il marchait avec une canne, chose que j’ignorais complètement. Tout en parcourant tranquillement la rue “Larga ” jusqu’à la “Povera ”, il m’avait raconté pourquoi il boitait mais d’une façon si confuse et si incohérente que je n’étais pas sûr d’avoir tout compris. Bon, c’est vrai, je l’avoue je n’avais pas non plus trop envie de croire à ses explications. Dès le début j’avais décidé qu’en fait il ne boitait pas et que, s’il se servait d’une canne, c’était juste pour se donner fière allure. Il faut reconnaître que les Flamencos (...) > suite

Federico García Lorca : poète du cante jondo, poète des gitans

Conférence donnée à l’ Université du Temps Libre (Essonne)
lundi 5 janvier 2009 par Maguy Naïmi
Le nom de Federico García Lorca est particulièrement évocateur. Sa présence dans la mémoire populaire est incontestable. On continue à mettre ses poèmes en musique : surtout les chanteurs de Flamenco, qui lui rendent hommage régulièrement, mais également les chanteurs de variété, comme Paco Ibáñez . Ce dernier a mis en musique et interprété avec beaucoup de talent les poètes espagnols, et a consacré une partie de sa production artistique à Federico. Federico García Lorca : lisant une de ses oeuvres / au piano On continue à jouer ses pièces : « La Maison de Bernarda », « La Savetière prodigieuse », « Noces de sang »... sont souvent mises en scène en France. D’autres, moins connues du public français, telles que « Yerma » , « Mariana Pineda », ou encore « Doña Rosita la soltera », sont régulièrement jouées en Espagne et en Amérique Latine. On continue (...) > suite

Les Román, une famille de guitaristes du Sacromonte

dimanche 14 décembre 2008 par Claude Worms
Vicente el Granaíno : "Guitarra flamenca" - EP SAEF SF-2031, 1960 Jacinto Almadén / Román el Granaíno : "Cante jondo n° 1" - EP Le Chant du Monde LDY-4088 Pepe Madrid : "Recuerdos de Ibiza" - EP Belter 50.962, 1961 L’ histoire commence comme un conte : Salvaorillo el Tuerto, gitan du Sacromonte, jouait de la guitare et de la bandurria. Il eut sept fils, qui tous devinrent guitaristes, sauf Antonio, qui préféra le football... Ils ont d’ ailleurs également cultivé la bandurria et le laúd, tous instruments composant les ensembles à cordes pincées qui sont l’ une des spécialités de Grenade. L’ aîné, Salvador Román Maldonado "El Mocarras" (1897 - 1940, peut-être...) semble avoir été le plus talentueux. Il n’ a malheureusement jamais enregistré, mais les anecdotes plus ou moins légendaires ne manquent pas sur son compte : une vie de bohème qui aurait enchanté Prosper Mérimée, un (...) > suite

Flamenka de Málaga, une boutique pas comme les autres

Paco Roji publie un document unique sur la Repompa de Málaga
mercredi 10 décembre 2008 par Maguy Naïmi
FLAMENKA est bien davantage qu’une simple boutique de flamenco, elle est également un centre d’information, car, comme nous le confiait son propriétaire, elle communique à tous ceux qui passent par cette ville les lieux et dates de tous les événements ( spectacles, conférences ) ayant un rapport avec le flamenco, dans la province. Mais elle est bien plus encore : elle est un lieu de recherche car Paco Roji, qui la gère depuis près de dix ans avec son épouse, est un amoureux passionné de sa terre natale et de ses chants. Il fait des recherches en permanence sur le flamenco de la région, et sa boutique est également un lieu où on fait la promotion du Flamenco local car Paco Roji et son épouse organisent aussi des spectacles. Paco est né à Málaga en 1969, et il est tombé amoureux du flamenco en écoutant Kiko Veneno et le groupe Pata Negra. Ce fan de musique pop et rock a (...) > suite

Jean-Marie Nègre : Tauromachies

samedi 6 décembre 2008 par Claude Worms
D’ origine espagnole par mon père, j’ ai toujours été attiré par la culture de ce pays. Le flamenco et la tauromachie m’ ont passionné depuis toujours. La tauromachie fut en noir et blanc mon sujet préféré, montrant essentiellement le combat entre l’ homme et la bête. La couleur me permit de m’ attacher au côté plus esthétique de ce spectacle, suivant en ceci le chemin de la peinture. Pour le flamenco, ce fut d’ abord la guitare, que je pratique toujours. Puis les possibilités ouvertes par l’ association du négatif couleur et de l’ ordinateur me permirent de réaliser des images dans des conditions de contrastes de lumière et de mélanges de couleurs que je n’ aurais pas pu maîtriser avec la technique argentique seule. Jean-Marie Nègre Voir aussi notre article "Larachí flamenca" > suite

Diego del Gastor / Mario Escudero / José Luis Montón

mercredi 3 décembre 2008 par Louis-Julien Nicolaou
Mario Escudero : "Gloria de la guitarra flamenca" - Editorial Acordes Concert, 2008 Diego del Gastor : "Etude de style" - Editions Play-Music Publishing, 2008 José Luis Montón : "Maestros contemporáneos de la guitarra flamenca, vol. 2" - Editions Combre, 2008 > suite

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Dessins, peintures et sculptures de Miguel Alcala



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